La réalité est plus nuancée et profondément humaine. Dans le cas du cancer de la prostate, on se demande souvent : le cancer de la prostate ou la chimiothérapie, qui tue le plus de gens ? La réponse n’est pas simple, mais elle est essentielle à comprendre. Le cancer, lorsqu’il est ignoré ou traité de manière inadéquate, peut devenir mortel. Cette thérapie médicamenteuse, malgré ses difficultés, a précisément été créée pour sauver des vies.
Ci-dessous, tu trouveras trois histoires vraies, de personnes réelles qui ont traversé des expériences éprouvantes, mais qui ont découvert dans leur propre chair la réponse à cette question.
1️⃣ La chimiothérapie m’a sauvé la vie, même si elle m’a épuisé jusqu’au bout. (Régis M., 69 ans, de Feyzin)
« Quand j’ai appris que j’avais un cancer de prostate agressif, mon monde s’est effondré. Le médecin m’a dit clairement : si je l’ignore, il me tuera. Si je le traite, ce sera dur… mais j’ai une vraie chance. J’ai choisi de me battre. L’inaction te coûte la vie.
Le traitement anticancéreux m’a épuisé jusqu’au bout. J’ai beaucoup maigri, je ne pouvais pas manger, je n’avais même pas l’énergie de regarder la télévision. Je passais des journées entières à dormir, et dans les rares moments où j’étais éveillé, j’avais l’impression de perdre espoir. Mais ma famille et mes médecins sont restés à mes côtés.
Aujourd’hui, presque 6 ans ont passé. Je suis là, présent. Cela a été la période la plus difficile de ma vie, mais la chimiothérapie m’a sauvé la vie. »
2️⃣ La chimiothérapie ne te prend pas ta chance – elle te l’offre. (Claude F., 72 ans, de Dampierre en Yvelines)
« Quand j’ai été diagnostiqué avec un cancer de prostate avancé, j’ai cru que les thérapies alternatives pouvaient me sauver. On m’a dit que cette therapie était “toxique” et qu’il existait des solutions plus “douces”. J’ai abandonné les recommandations des médecins.
En quelques mois, la tumeur s’est propagé. Alors j’ai demandé l’avis de spécialistes. L’un d’eux m’a dit : la chimiothérapie a une chance – petite, mais réelle – de fonctionner. C’était tout ce qu’il me restait.
Les premières séances ont été difficiles, mais le traitement a commencé à porter ses fruits. Après 11 séances… le cancer était en rémission.
C’était en 2019. Je suis encore là. J’ai compris que la chimiothérapie ne te prend pas ta chance – elle te l’offre. »
3️⃣ La chimiothérapie est difficile, mais l’inaction te coûte la vie. (Marcel, 68 ans, de Montigny-sur-Loing)
« Je suis presque à la fin de mon traitement contre le cancer de la prostate – il me reste quelques séances de thérapie médicamenteuse. Il y a eu des moments pénibles, de la fatigue, des jours où la nourriture n’avait aucun goût, mais j’ai continué à travailler et à diriger mon entreprise. Je n’ai manqué aucun jour.
À chaque visite, je m’assois à côté d’autres patients. Nous parlons, nous nous encourageons, nous partageons nos expériences. Cette thérapie médicamenteuse n’est pas facile, mais elle me donne le sentiment de faire quelque chose de concret contre la maladie. Elle me fait avancer. La chimiothérapie m’a sauvé la vie.»
☑️ Conclusion : Qu’est-ce qui tue le plus de gens ?
Le cancer. Sans hésitation. La chimiothérapie est difficile, mais l’inaction te coûte la vie. Cette therapie, malgré ses effets parfois difficiles, n’a qu’un seul objectif : sauver des vies.
Les histoires ci-dessus montrent l’essentiel :
- La chimiothérapie peut être exigeante, mais le cancer non traité est mortel.
- Les faux espoirs et les méthodes sans fondement peuvent mettre la vie en danger.
- Le traitement médical offre la véritable chance de survie.
- La chimiothérapie ne te prend pas ta chance – elle te l’offre.
La peur est naturelle. Le doute aussi. Mais la vérité est celle-ci : ce n’est pas la chimiothérapie qui tue plus de gens que le cancer. C’est le cancer que le traitement anticancéreux aide à combattre.
Et chaque jour de plus, chaque anniversaire, chaque moment auprès de ceux qu’on aime… est la preuve vivante de cette vérité.
